Source: Riviera Buzz

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Pourquoi Cesare Catania rend justice à son surnom de Léonard de Vinci moderne

Les meilleurs collectionneurs d’art contemporain au monde sont sur les talons d’un jeune peintre et sculpteur italien qui s’apprête à donner forme à une nouvelle ère artistique

Une ou deux fois par génération émerge un plasticien qui se démarque des autres et qui ira dans les annales de l’histoire de l’art. Au début du 21e siècle, cette personne était toujours au centre des préoccupations: le peintre et sculpteur italien Cesare Catania. Ses pièces dramatiques et colorées sont exposées dans le monde entier, touchant le Louvre à Paris avec la même empressement que les musées d’art contemporain. Il alerte les meilleurs collectionneurs d’art contemporain au monde. Il a été salué comme le Léonard de Vinci moderne. Mais ses origines italiennes et son talent créatif ne sont pas de loin tout ce que Cesare Catania partage avec l’un des plus grands génies artistiques de l’histoire.

Quand la science est art et que l’art est science

In En fait, il n’y a pas de Cesare Catania, mais de nombreuses versions différentes. Il y a évidemment Cesare le peintre et sculpteur. Mais il y a aussi Cesare le musicien expert qui a habilement joué du piano. Il y a Cesare le mathématicien fasciné par les lois, la précision et le langage des nombres. Ensuite, il y a Cesare le PDG qui, en tant qu’ingénieur en structure et directeur commercial et financier avec MBA, canalise son expérience dans sa société de génie civil qui signe les gestionnaires de grands projets tels que le stade Armani, les stations de métro de Milan et le siège de Siemens. Et il y a Cesare le photographe et vidéaste dont l’attention est captée par les couleurs et la capacité de l’appareil photo à capturer en un clic toute la force et le dynamisme des scènes en mouvement.

Dans son esprit multimodal, aucune de ces disciplines n’est mutuellement exclusifs mais au contraire complémentaires et entrelacés. Il voit l’art dans les mathématiques … et les mathématiques dans la musique … et la musique dans la sculpture … et la sculpture dans l’ingénierie … et l’ingénierie dans l’art. Pour lui, ils font tous partie du même cercle.

D’où vient cette abondance de créativité? C’est peut-être en partie dans ses racines familiales. Cesare est né à Milan, en Italie, en 1979. Son grand-père Michel-Ange, célèbre luthier et violoniste sicilien, a transmis sa passion pour la musique à son petit-fils qui a commencé à jouer du piano à l’âge de neuf ans et dans les années suivantes allait devenir très affirmé . Mais Cesare n’était pas attiré par une carrière musicale. Au lieu de cela, il a choisi de suivre les traces de son père. Fort de ses études en mathématiques, en ingénierie et en finance, il dirige maintenant Catania Group, une entreprise familiale renommée de 45 ans qui fournit des matériaux de structure pour les chantiers de construction.

Sous un même toit

< p> Mais penser que Cesare se pencherait confortablement en arrière sur sa chaise en tant que PDG ne le connaît pas bien. Au lieu de cela, il découvrit son amour de la photographie, ce qu’il apprit bientôt comme un pro. Ceci en retour le conduit bientôt du rôle de spectateur à celui d’acteur dans l’espace artistique, exprimant ses émotions dans des peintures et des sculptures. Et c’est là aussi qu’il a finalement trouvé le moyen d’unir tous ses intérêts et talents.

Son art visuel est une explosion de couleurs, où architecture, géométrie, cubisme, courbes et symbolisme se réunissent pour célébrer un mariage joyeux avec une imagination imaginative. Les peintures de Cesare Catania sont des instantanés de son moi intérieur, des «images fixes» d’actions et de sentiments, une synthèse entre l’obscurité et l’attention aux détails. Il canalise Picasso, Matisse et Chagall, emprunte librement à l’art abstrait, surréaliste, hyperréaliste, informel et cubiste, jette une soupe de maîtres classiques, utilise diverses techniques et matériaux, et mélange joyeusement tout dans son style signature, qui est mieux décrit comme ” Catanianisme “. Ses sculptures sont des œuvres dramatiques qui défient le code artistique en mélangeant des matériaux «non mixables» allant du silicium et de l’acrylique à l’acier, la corde et le cuir … ou parfois même sa propre jonque, comme on le voit dans ReArt, l’œuvre massive commandée par Culture du gouvernement italien pour mettre en évidence le gaspillage des êtres humains.

L’observateur et le transformateur

Le travail de César peut être difficile mais il n’est jamais désastreux. Au contraire, il conserve une musique … une qualité jazz, et l’énergie brute est tempérée par la légèreté et l’élégance. Et il y a un thème récurrent: Arlequin.

Arlequin, dans son costume à carreaux caractéristique, joue le rôle d’un serviteur insouciant, agile et rusé, qui agit souvent pour déjouer ou démasquer les plans de son maître. Son agilité physique et ses qualités de triche. Comme tu le sais l’œuvre de César, vous avez le sentiment qu’Arlecchino est une figure autobiographique. Cesare est un artiste mais c’est aussi un observateur socialement attentif et conscient qui cache souvent des messages critiques à la vue de tous dans ses peintures et sculptures. “L’homme qui ne voit pas”, par exemple, est insp.